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Depuis mes tout premiers articles sur l’Argentine, j’avais hâte de vous parler d’El Ombu De Areco.
C’est une Estancia ( sorte de ranch qui fait également maison d’hôte ) à environ une heure et demi en voiture de Buenos Aires, qui m’avait été vivement conseillé.
Elle tient son nom du très vieil arbre au milieu du jardin, un Ombu planté en 1806.
Comme j’avais suffisamment de temps libre, très envie de sortir un peu de la ville et de me plonger dans la nature Argentine, j’ai sauté sur l’occasion !
Et je ne l’ai pas regretté. L’endroit était absolument magnifique.
Ça a été un véritable régal pour moi pour faire des photos. Un lieu délicieusement authentique avec une ambiance chaleureuse, des vieilles cheminées, superbes lits en fer forgé, très beau carrelage … le tout dans un cadre bucolique à souhait.
Un paysage on ne peut plus Argentin. Et quelle surprise de me voir transportée dans un décor similaire à l’affiche du film Big Fish au moment du soleil couchant !
La lumière devenait joliment dorée à ce moment là . Avec la poussière soulevée par le vent et les bêtes dans les champs, je me sentais presque comme dans un western.
C’était aussi le paradis des animaux!
Moi qui aime tant être entourée de bestioles en tout genre, j’ai été servie.
La propriétaire de l’Estancia est passée un matin accompagnée d’un nombre impressionnant de chiens. Je lui ai alors demandé combien elle en avait, ce à quoi elle m’a répondu » Aujourd’hui j’en ai ramené 10, mais j’en ai bien plus à la maison « .
Des chats partout, des grosses perruches en liberté qui piaillaient dans les arbres ( oui ça existe, en Argentine ! ) … mais l’animal le plus important d’El Ombu, c’était le cheval.
Je vous en parlerais plus en détail dans un prochain billet!
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♫ ♪ Neil Young – Heart of Gold
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Since my first articles about Argentina, I was really excited to tell you about El Ombu de Areco.
It’s an Estancia ( kind of ranch that also works as a guesthouse ) about one hour and a half by car from Buenos Aires, which was highly recommended to me.
It was named after the very old tree in the middle of the garde, an Ombu planted in 1806.
Because I had some free time, the desire to go outside the city and discover what was outside, I gave it a go !
And I never regretted. The place was absolutely beautiful.
It was such a treat for me to take pictures there. A delightfully authentic place with a warm atmosphere, old fireplaces, incredible bed…
All surrounded by a landscape that couldn’t be more Argentine. And what a surprise to see the place changing into a Big Fish scene at sunset !
The light was turning into a beautiful golden color through the trees, and with the dust raising in the air because of the wind, I almost could believe I was in a western movie.
It was also a paradise for the animals. From someone who really like to be surrounded by animals of all kind, I can tell you I was very happy !
The owner of the Estancia came by one morning, accompanied by an impressive amount of dogs. When I asked her how many dogs there were, she simply replied » Today I brought 10, but I have a lot more at home ».
Cats everywhere, lots of wild parakeets chirping in the trees ( yes that does exist, in Argentina ! ) … but the most important animal at El Ombu was the Horse.
And this is something I’ll tell you more about in my next post !
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Je portais: Une manteau Drôle ( Buenos Aires ), Pantalon Zara, Bottes Hunter, sac Paul French Gallery ( Buenos Aires ).
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I was wearing : Drôle coat ( Buenos Aires ), Zara jeans, Hunter boots, bag from Paul French Gallery ( Buenos Aires ).
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Retour en Argentine!
Il me reste encore quelques articles à partager avec vous.
J’avais manqué l’expo de Yayoi Kusama à Paris, donc quelle joie de la voir au musée Malba du Buenos Aires.
L’expo était assez petite, mais beaucoup de bonnes idées autour.
Les arbres recouverts des célèbres pois par exemple, ou encore des autocollants qui faisaient office de billet d’entrée.
Les gens se collaient en rigolant ces ronds colorés sur le visage, sur les vêtements, sur les pieds … ce qui participait à la très bonne ambiance de l’expo.
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♫ ♪ The Beatles – Martha my dear
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Let’s go back to Argentina, shall we ?
I still have a few articles left for you.
I missed the Yayoi Kusama exhibition which took place in Paris, so I was more than happy to see it here in Buenos Aires !
The exhibition itself was quite small, but with many nice details all around.
Trees covered with these famous polka dots for example, or stickers as entry tickets.
People were having a lot of fun sticking these colorful polka dots on their face, their clothes and their feet … which made the exhibition atmosphere even more playful !
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Robe / Dress : Sretsis
Chaussures / Shoes : Zara
Rouge à lèvre : The Cherry Blossom Girl x Galeries Lafayette
Lunettes / Sunglasses : Vintage
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Cette semaine sera une semaine spécial Halloween !
Et pour une entrée en douceur, voici aujourd’hui quelques photos du magnifique cimetière de la Recoleta, que j’ai visité lors de mon séjour à Buenos Aires.
Je ne saurais trop vous conseiller d’aller y faire un tour si vous passez par la capitale Argentine, car bien plus qu’un cimetière, l’endroit recèle de magnifiques éléments architecturaux.
Certains tombeaux, ornementés de statues et de vitraux sont de véritables Å“uvres d’art.
La Recoleta est fort comparable à notre Père Lachaise à Paris, et s’inscrit facilement dans les plus beaux cimetières du monde.
Une aura plus ou moins mystérieuse enveloppe la tombe de certains de ses habitants. Il y a la très célèbre Eva Peron ( adorée ou détestée des Argentins ) dont le tombeaux a été soigneusement scellé afin d’éviter  tout vandalisme, Liliana Crociati morte sous une avalanche ( on peux toucher le museau de son chien pour nous porter chance ), mais aussi celui de Rufina Cambaceres:
Une jeune fille issue de la Bourgeoisie Argentine prématurément décédée à l’âge de 19 ans, dont le corps a disparu de son cercueil quelques jours seulement après ses funérailles. On dit qu’elle aurait été enterrée vivante. Beaucoup de versions de cette histoire existent, ce qui entretient naturellement la légende.
Son tombeau, un magnifique mausolée Art Nouveau est de loin mon préféré. Elle est représenté à sa propre porte, comme perdue et vacillant ainsi entre le monde des vivants et le monde des morts.
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 ♫ ♪ Krzysztof Komeda – Rosemary’s Baby ( main title )
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This week will be a special Halloween week !
And we’re starting today with a few pictures of Recoleta Cemetery, which I visited while I was in Buenos Aires.
If you’re planning to go to the Argentinian capital, I really recommend that you go. More than a cemetery, the place is filled with beautiful architectural elements.
Some tombs, ornamented with statues and stained glass are true works of art.
I found the Recoleta pretty similar the Père Lachaise in Paris.
There’s some mystery surronding the tombs of a few of its habitants.
The famous Eva Peron of course ( loved or hated by the Argentinians ) whose tomb was carefully sealed to prevent vandalism, Liliana Crociati who died smothered in an avalanche ( you can touch her dog’s muzzle to bring you luck ), but also Rufina Cambaceres:
A young woman born in a wealthy family, who prematurely died at the age of nineteen. Her body strangely disappeared only a few days after her funerals.
It is said that she was buried alive. There are many different versions of that story, which keeps the legend alive of course.
Her tomb, a magnificent Art Nouveau mausoleum is by far my favorite. She is represented at her door, lost and vacillating between the land of the living and the land of the dead.
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