Ne vous est-il jamais arrivé de rêver, de fantasmer sur quelque chose qui n’existe pas, que vous n’avez jamais vu, sorti tout droit de votre imagination, ou inspiré inconsciemment par un détail, une anecdote de votre vie quotidienne, ou de votre enfance?
Pour ma part, ma pauvre petite cervelle de modasse n’est que très rarement au repos. Non suffisant de saliver le nez collé à la vitrine de telle ou telle boutique devant une paire de chaussure bien réelle, il m’arrive également de faire une fixation sur un produit complètement imaginaire. Et là, bien entendu cela semble plutôt mal parti pour trouver le petit trésors tant désiré…sauf si, à tout hasard, quelqu’un vous fait un signe, en vous invitant dans son atelier par exemple, et que soudainement les objets en question tant désirée se matérialisent là, d’un seul coup sous vos yeux émerveillés.

C’est le cas d’Erika, la charmante créatrice des bijoux the french factory, qui, sans même que je lui demande, avait déja créé tous les bijoux que je rêvais porter.En effet, cela faisait un bon moment qu’un pendentif mini cassette, et l’idée de porter une mini cage d’oiseau autour du cou me trottait dans la tête. J’ai donc fait mes emplettes, le choix a été dur, mais j’ai finalement craqué pour 4 ravissant sautoirs, le type de bijou que je préfère porter.

 

Les details ne sont pas laissés de côté, la petite cage peut se poser sur un trépier ( joli objet de déco), et même s’ouvrir, laissant entrevoir un joli pioupiou à l’interieur! Il en va de même avec la petite bouteille qui renferme un message, et la cassette qui cache un enregistrement secret!

La bonne nouvelle c’est qu’il y a la possibilité de passer une commande personnalisée, j’ai ainsi pu modifier la longueure des sautoirs à mon gout, choisir la couleur des noeuds, faire des petites modifications, ou même demander des détails en plus! C’est y pas dément ca, mademoiselle?

Et ce n’est pas fini, le comble du ravissement, c’est que les bijoux sont égalemment disponibles en ligne ici.

Maintenant j’ai mes bijoux en vrai, lalalaaa !